Rédigé à 07:37 dans Equipements et aménagements | Lien permanent | Commentaires (0)
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Il semble que l’entreprise n’intervienne pas ?
Saint-Jeannet Demain s’interroge.
Fissures inquiétantes, infiltrations importantes, fermeture pour danger grave imminent : le bâtiment de Point Info Tourisme situé sur le parking Veyssi a fermé ses portes pour faire place à un bungalow, tant qu’une solution ne sera pas trouvée pour effectuer les réparations et le rendre à nouveau apte à l’accueil du public et du personnel.
Cet évènement suscite cependant de nombreuses interrogations :
- Comment une construction aussi modeste peut-elle de nos jours, 11 mois seulement après son inauguration (les premières fissures datent de février 2014) connaître un tel sinistre ?
- Quel est le niveau de responsabilité de la commune dans cette affaire ?
- Les travaux ont-ils été suivis avec suffisamment de sérieux ?
- Pourquoi avoir fait le choix de réaliser le bâtiment dans le cadre du marché à bon de commande, intitulé « marché de travaux neufs et d’entretien sur le territoire communal » qui semble mieux adapté pour la réalisation de petits travaux de maçonnerie plutôt que la réalisation d’un équipement public, neuf, destiné à recevoir du personnel et du public?
- Pourquoi avoir fait appel à une entreprise niçoise alors que de nombreux maçons de qualité exercent sur notre commune ?
- Qui a réalisé les études ? Par qui ont-elles été vérifiées ? Un bureau de contrôle avait-il été désigné par la mairie comme cela est obligatoire pour toute exécution de bâtiment public ?
- Pourquoi le maire en est-t-il à « essayer de trouver » une solution à l’amiable ou à envisager une procédure judiciaire, alors que les premiers désordres sont apparus pendant l’année de parfait achèvement, période pendant laquelle le Maître d’Ouvrage (en l’occurrence la mairie) est en principe garanti au travers des assurances de l’entreprise contre les désordres qui peuvent se produire ?
- Et enfin, qui paiera ?
L’image de la politique de développement touristique de Saint-Jeannet, censée être représentée par le bâtiment rénové et agrandi, inauguré en grandes pompes le 6 avril 2013, se réduira-t-il, pendant de longs mois, au préfabriqué provisoire installé à ses cotés ?
Rédigé à 09:23 dans Equipements et aménagements | Lien permanent
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Annonce aux voisins vigilants: ça bouge Chemin du Clos et au Peyron.
Les sondages du sol nécessaires au dimensionnement des futurs bâtiments viennent d'être réalisés dans la semaine du 18 au 22 août 2014 sur les terrains en SMS (Secteur de Mixité Sociale) chemin du clos et en haut du chemin de la Billoire.
Ce n'est pas encore les travaux, mais le dépôt du dossier de demande de permis de construire est sans doute pour bientôt...
Rédigé à 18:48 dans Equipements et aménagements, Logement et urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le poste de police est depuis peu installé dans l’ancienne salle des mariages. Depuis 5 ans et l'arrivée de Monsieur Sempéré, il n’a pas cessé d'être déplacé : il parait que cette fois-ci c’est la bonne… à suivre.
Initialement prévu rue Notre-Dame, le maire a fini par reconnaitre en conseil municipal du 24 juin 2013 que cela avait été une mauvaise idée (mauvaise idée qui a cependant couté cher aux Saint-jeannois puisqu’une étude avait été payée et un permis de construire déposé: une étude de plus qui n'aura servi à rien).
"Mauvaise idée " c'est exactement le terme qu'avait employé l'opposition municipale il y a 4 ans. Et le maire de répondre alors que l’opposition ne comprenait rien, que le poste de police rue Notre –Dame allait redynamiser le village, etc, etc ….
Une élue de l’opposition a par ailleurs rappelé lors du conseil du 24 juin 2013 l'argument qui lui avait été opposé alors sur la nécessité de déplacer le poste de police pour un motif d'accessibilité handicapé. Et de constater aujourd'hui que le nouveau poste de police n'est pas accessible aux personnes à mobilité réduite. Comme à l'habitude le maire modifie son discours selon ce qui l'arrange.
Et contrairement aux affirmations du maire, la sonnette (d'ailleurs s'agit-il bien d'une sonnette?), n'est en rien conforme à une accessibilité handicapés.
Car pour être conforme, une telle sonnette devrait être à moins de 1.10m de hauteur, être clairement identifiable par une couleur différente de la porte, avec un seuil de porte inférieur à 3cm et accessible depuis un fauteuil roulant pouvant manoeuvrer en toute sécurité (ce qui est loin d'être le cas en cette prtion de rue très circulée et sans trottoir). Chacun constatera sur les photos jointes que ces prescriptions sont loins d'être respectées.
Une fois de plus le maire essaie de tromper les Saint-Jeannois.
VIVEMENT 2014
Rédigé à 11:55 dans Equipements et aménagements, Municipalité | Lien permanent | Commentaires (0)
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Sur une remarque très étayée de Gérard Nirascou, opposition municipal, ancien maire et candidat pour les prochaines élections municipales, lors du dernier conseil municipal, l’adjoint aux finances a fini par reconnaitre que le taux d’emprunt de la commune était très proche (16%) de celui de 2008( 18%) taux qu’à l’époque le même adjoint aux finances dénonçait comme intolérable.
Mais il existe une très grande différence entre les deux situations : Si plus de la moitié des emprunts ayant cours en 2008 sont arrivés à échéance lors de ce mandat ce qui a permis faire tomber ce taux à 12% à mi-mandat, il n’en est pas de même aujourd’hui. Tous les emprunts réalisés par la nouvelle municipalité sont a plus de 35 ans . Et contrairement à ce qu’a affirmé l’adjoint aux finances lors de la séance du conseil municipal du 24 juin, il n’y en a pas qu’un
A quels équipements ont-ils servi ? pour quel bénéfice des Saint-Jeannois ?
ils concernent essentiellement le besoin en financement de la part communale des logements sociaux ou des dépenses de prestige dont peu de saint-Jeannois profiterons ( comme par exemple la restauration de la chapelle saint-bernardin qui jouxte l'glise et qui étant consacrée ne pourra servir qu'à des évènements religieux ou très ncadrés par le diocèse).
Et il y en a un nouvel emprunt (voté lors de ce même conseil municipal et encore pour des logements sociaux) en préparation.
Ce qui veut dire que la capacité d’emprunt de la commune a été considérablement réduite pour les 35 ans à venir.
Rédigé à 22:18 dans Equipements et aménagements, Municipalité | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le Maire Jean-Michel Sempéré a été chercher à Marseille sa première fleur dans le cadre du concours des "villes et villages fleuris" (voir Nice-Matin du jeudi 28 mars 2013).
Cette fleur récompense les communes ayant développé leur décoration florale.
De toute évidence, le jury n'a pas dû mettre les pieds à Saint-Jeannet depuis un moment.
Car le fleurissement on le cherche depuis de longs mois comme en témoigne ces photos prises le samedi de Pâques.
Plutôt tristounette notre entrée de village pour un Week-End pascal!
Rédigé à 19:18 dans Equipements et aménagements | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le développement de la vie associative sur la commune ces dernières décennies rend le besoin de salle municipale criant.
Jean-Michel Sempéré et son équipe en avaient d'ailleurs fait un leItmotiv de leur campagne électorale en 2008 en déclarant à l'époque que la chapelle Saint Jean-Baptiste ne répondait pas aux besoins.
La précédente municipalité de Gérard Nirascou avait mis au point un projet séduisant. Un bâtiment neuf de 240m2 à l’entrée du village qui permettait de doubler la capacité de la chapelle sur un terrain appartenant à la municipalité. Il aurait coûté , après déduction des nombreuses subventions obtenues, la modique somme de 200 000 euros aux contribuables Saint-Jeannois.
L’enquête publique avait confirmé l’adhésion des Saint-Jeannois à ce projet, d'un rapport qualité/prix inespéré.
Tout était prêt : permis de construire obtenu, enquête publique favorable, financement bouclé. Les travaux devaient commencer à l’automne 2008.
Malheureusement, les élus de la nouvelle majorité se sont empressés dés leur arrivée de jeter ce projet au panier sans prendre soin de consulter les Saint-Jeannois, contrairement à leur promesse, au motif qu'elle "ne semblait pas répondre aux besoins des Saint-Jeannois"
Pour finir par réaliser à la place un réaménagement luxueux (et extérieurement discutable) de la chapelle auparavant tant décriée par eux, qui réduit la surface utilisable à 107m2 et la capacité d'accueil à 99 personnes debouts pour la somme astronomique de plus de 450 000 euros.
Et malheureusement, après 5 ans de mandat de monsieur Sempéré, il n'y a toujours pas de salle répondant aux besoins des Saint-Jeannois, malgré l'argent dépensé.
Rédigé à 09:46 dans Associations , Equipements et aménagements | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le distributeur promis depuis si longtemps est installé ; mais à quel coût et dans quelles conditions ! et, en particulier, ce que nous jugeons très grave, contre l’avis (très) défavorable de l’architecte des bâtiments de France.(voir l’avis ci-dessous).
La gestion de la création de cet ouvrage reflète à elle seule la façon dont sont conduites depuis près de 5 ans les affaires municipales : opacité, gaspillages, absence de concertation, atteintes au patrimoine, passages en force.
Jugez-en.
Le principe : Ce distributeur a coûté 51 000 euros T.T.C. dont 11 513 euros de subventions. Il reste près de 40 000 euros aux frais du contribuable Saint-Jeannois. Que l’argent public serve à financer l’enseigne d’une société privée, qui plus est fait des milliards de bénéfices chaque année a de quoi choquer. C’est une opération susceptible d’être remise en cause par la Cour Régionale des Comptes. Il pose aussi le problème d’occupation du domaine public pour des intérêts privés. Signalons enfin que l’occupation de la voie publique pour une activité privée aurait dû faire l’objet d’une délibération municipale, ce que le maire n’a pas cru bon de demander.
Mais ce n’est pas tout.
Le coût : Il est tout simplement exorbitant: 50 000 euros pour environ 5,4 m² (un coût au m² que même un hôtel de luxe n’atteint pas). Il semblerait que les entreprises qui ont construit ce local aient été imposées par la banque bénéficiaire, ce qui explique peut-être cela. Ce qui est certain c’est que, contrairement à la règle, l’attribution du marché s’est faite en toute opacité, sans la convocation préalable de la commission d’achat : une entorse de plus à la bonne utilisation de l’argent public.
L’atteinte au patrimoine et le choix du site :
Ayant un doute sur le fait que l’architecte des bâtiments de France, dont la consultation est obligatoire, ait pu donner un avis favorable à une telle construction, l’opposition municipale, par courrier en date du 22 juin 2012, a demandé au maire de bien vouloir lui faire parvenir l’avis de l’ABF. Il s’agit d’un document administratif que le maire ne peut refuser de fournir.
Il aura fallu deux courriers, deux interventions de la sous-préfète, une lettre ouverte préalable au conseil municipal du 15 octobre 2012, la persévérance de l’opposition municipale et près de 4 mois, pour qu’enfin les documents demandés soient communiqués le 17 octobre 2012. A la lecture de ces documents on comprend mieux aujourd’hui pourquoi tant d’esquives de la part du maire et de son directeur général des services !
Car c’est en des mots très durs et rarement utilisés en de telles circonstances que l’Architecte des bâtiments de France justifie son avis défavorable : « de nature à porter atteinte à l’intérêt du village, à l’état des lieux et à leur aspect », « endroit tout à fait inapproprié », « élément parasite et dérangeant ».
La municipalité a décidé de construire cet édifice sans tenir aucun compte de cet avis, pas plus que la maire n’a jugé bon de demander l’avis des Saint-Jeannois. Et qui plus est en empiétant sur une voie publique déjà étroite qui devient de ce fait dangereuse, y compris pour les véhicules de secours.
Ceci nous parait d’autant plus critiquable que le maire n’a de cesse de mettre en avant l’avis de l’architecte des bâtiments pour justifier ses nombreux refus de permis de construire.
Si l’installation d’un distributeur de billets au village peut se justifier, les conditions dans lesquelles elle s’est déroulée sont inacceptables et reflètent les méthodes malheureusement utilisées par le maire, Jean-Michel Sempéré, et son équipe, pour gérer les affaires municipales.
Rédigé à 16:50 dans Equipements et aménagements | Lien permanent | Commentaires (0)
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Lors du dernier conseil municipal du 20 novembre 2009, les élus ont voté l’acquisition d’un terrain de 92m² attenant à la chapelle, qui avait pour sa part été acquise par l’ancienne municipalité.
L’acquisition de ce terrain d’un montant de 12 000 euros TTC, dont 2 520 euros à la charge de la commune si elle obtient toutes les subventions qu’elle a sollicitées, s’ajoute au travaux « d’urgence » votés lors du conseil municipal du 24 mai 2009 d’un montant estimé à 67 000 euros TTC dont 56 000 euros à la charge de la municipalité.
Lesquels travaux « d’urgence » restent de toute évidence en attente de démarrage
(photos en date du 6 décembre 2009)
Rédigé à 17:13 dans Equipements et aménagements | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le 31 janvier 2008, la société Malongo posait en grande pompe la soit-disant première pierre de la future usine, alors que toutes les autorisations administratives n'étaient pas obtenues.
Un an plus tard, qu'en est-il ?
Notre nouvelle équipe municipale s'est empressée de retirer le recours déposé par la précédente municipalité, facilitant de la sorte l'implantation de l'usine.
Le résultat ne s'est pas fait attendre, et le tribunal administratif a émis un avis favorable à la réalisation du projet.
Pourtant, curieusement, il ne se passe rien sur le site, et la deuxième pierre se fait attendre.
On lit même dans la presse que la société Malongo ne serait plus pressée de commencer compte tenu du retard déjà pris.
Tout cela nous conforte dans notre conviction que ce projet n'est pas aussi limpide qu'on a voulu nous le faire croire.
Rédigé à 11:49 dans Equipements et aménagements | Lien permanent | Commentaires (0)
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